La perturbation numérique prend l’assaut du département de la Dordogne

Le département français de la Dordogne sert de toile de fond au nouveau thriller médiéval de Ridley Scott, << Le dernier duel>>, avec Matt Damon, Ben Affleck et Adam Driver. Mais ne vous laissez pas tromper par ces apparences.

Sarlat est le 3ème lieu de tournage en France et la 7ème ville la plus visitée du pays – pour de bonnes raisons. Ceci dit, tout en restant extrêmement fière de son riche patrimoine historique, la région est en passe de s’élancer vers un avenir défini avant tout par la perturbation numérique et des domaines tels que la fintech (technologies de la finance), l’intelligence artificielle, les réalités augmentées et virtuelles ainsi que d’autres technologies de pointe.

Au centre de tout cela se trouve UNIQORN, un incubateur-accélérateur pour startups qui sert également d’espace coworking. UNIQORN attire des entrepreneurs et des investisseurs spécialistes des technologies de pointe du monde entier et les invite à s’installer dans la petite ville de Sarlat-la-Canéda, dans le département de la Dordogne situé sud-ouest de la France (9 000 habitants).

“Nous avons créé UNIQORN pour résoudre un problème crucial”, déclare Dom Einhorn, entrepreneur franco-américain avec plus d’une douzaine de startups à son actif. Dom a lancé l’incubateur-accélérateur avec un ami d’enfance et camarade des classes préparatoires à Saint-Cyr, Jean Vignon, co-fondateur et directeur financier de l’entreprise. “De plus en plus d’entrepreneurs dans les technologies de pointe sont incapables de trouver le bon équilibre entre vie professionnelle et vie privée parce qu’ils vivent et travaillent dans des villes bondées où la circulation, le bruit et la pollution – sans parler des loyers très élevés – créent des conditions extrêmement stressantes pour un entrepreneur en phase d’amorçage. Chez UNIQORN, nous leur offrons un nouveau souffle, ainsi qu’un endroit où ils peuvent respirer et s’épanouir”.

Selon Statista, le loyer annuel moyen à Londres pour des bureaux de catégorie A s’élève à plus de 550 euros par pied carré par an, alors que les prix dans le West End de Londres sont plus de deux fois supérieurs à ce montant. D’après les données officielles sur la location de l’immobilier commercial, le loyer moyen demandé pour des bureaux à New York s’élèverait entre 75 et 100 euros par pied par an pour un immeuble de classe A. Ainsi, un bureau de 93 m2 vous coûterait entre 75 000 et 100 000 euros par an à New York et plus de 500 000 euros par an à Londres ! Des villes comme San Francisco, en Californie, peuvent être encore plus coûteuses. Et les loyers des logements suivent la même tendance.

“En tant que jeune entrepreneur et investisseur en démarrage, vous devez commencer à vous poser quelques questions fondamentales. Si seul le loyer me coûte plus d’un demi-million d’euros, combien d’argent devrai-je réunir pour avoir une chance décente de couvrir mes dépenses les plus élémentaires, sans compter la myriade de dépenses supplémentaires auxquelles je devrai faire face pendant la construction de mon entreprise”, déclare M. Einhorn. “Ignorer (et ne pas éviter) ces dépenses est l’une des principales raisons du fort taux d’échec des start-ups. Et, à un niveau plus profond, le fait de ne pas remédier à ce type de situation en temps voulu révèle une gestion déficiente. En tant que jeune entreprise, vous devez littéralement lever entre trois et cinq fois plus de fonds – et diluer votre capital à un taux proportionnel, tout en prenant beaucoup plus de risques – si vous opérez dans une grande ville par rapport à une ville plus petite comme Sarlat.

Ayant investi dans des dizaines de start-ups au cours de ses 25 ans de carrière d’entrepreneur et de business angel, la consommation de liquidités démesurée est l’une des principales raisons de l’échec des start-ups, selon M. Einhorn. Pour remédier à cette situation, il conseille aux startups et à leurs investisseurs une solution radicale qui consiste à déplacer leurs entreprises sur Sarlat – sous le soleil du sud-ouest de la France – où les loyers sont entre 5 et 20 fois moins élevés que dans les grandes villes, et où le trajet entre votre appartement – situé dans un immeuble médiéval – et votre bureau ne prend que cinq minutes ou moins.

Un article récent du quotidien Sud Ouest a présenté les premiers succès d’Einhorn et d’UNIQORN à Sarlat, où la société a réuni une équipe fondatrice composée de professionnels provenant de six nationalités différentes, y compris d’endroits aussi reculés que le Panama.

“Einhorn” signifie “licorne” en allemand et, dans le langage technique, une licorne représente une start-up privée évaluée à plus d’un milliard de dollars. Le terme a été inventé en 2013 par la société de capital-risque Aileen Lee, qui a choisi cet animal mythique pour représenter la rareté statistique de telles réussites entrepreneuriales.

L’UNIQORN d’Einhorn se positionne comme une alternative viable aux incubateurs et accélérateurs des grandes villes, non seulement en termes de réduction des coûts et d’amélioration spectaculaire de la qualité de vie, mais aussi dans une analyse côte à côte de ces avantages commerciaux.

À titre d’exemple, UNIQORN dispose d’un personnel sur place qui fournit un service de conciergerie complet à ses clients incubés ainsi qu’à leurs familles (obtention de visas pour le compte de ressortissants étrangers, hébergement, enregistrement des cartes de sécurité sociale et de santé…). Plus important encore, les startups sélectionnées pour l’incubation et l’accélération bénéficient de l’expertise de plus de 20 ans des fondateurs en matière de marketing numérique et d’acquisition clientèle (génération de prospects, optimisation pour les moteurs de recherche et des appstores, relations publiques et relations investisseurs, achat médias, etc.). L’équipe d’Einhorn est actuellement en première  position pour plus de 4 000 mots clés sur les app stores et a généré plus de 500 millions de dollars de ventes pour ses clients e-commerce.

Enfin et surtout, UNIQORN joint le geste à la parole, agissant souvent en tant qu’investisseur médias (“media investor”) dans les opérations qu’elle décide d’incuber et d’accélérer, en plus de participer aux premiers tours de table et d’assurer la conformité juridique et comptable à chaque étape du processus, par l’intermédiaire d’un réseau dédié d’avocats, de comptables et de conseillers.

“Nous jouons un rôle très actif lorsqu’il s’agit d’optimiser le taux de réussite de nos startups”, ajoute M. Einhorn. “Toutes les grandes équipes sont composées de spécialistes et non de généralistes. En tant que chefs d’équipe, nous construisons essentiellement des puzzles et nous ne pouvons pas nous permettre de laisser des pièces manquantes, encore moins de trous béants. C’est pourquoi nous allons souvent bien au-delà des nos engagements, pour nous assurer que nos bébés licornes sont bien prises en charge”.

L’avenir s’annonce prometteur pour UNIQORN, qui s’étendra sur plus de 3 000 m2 de bureaux au cœur de Sarlat dans le courant de l’année 2020.

Pour les entrepreneurs, investisseurs et journalistes des environs de Sarlat (ou ceux qui souhaitent voyager), l’entreprise organise son premier “UNIQORN Tech Summit” les 27 et 28 février 2020 prochains (16 h 00 à 20 h 00). L’événement mettra en vedette quatre start-ups berlinoises issues du portefeuille d’UNIQORN ainsi que leurs équipes fondatrices respectives. Chaque start-up présentera ses technologies de pointe dans le domaine de la réalité augmentée (RA).

Un grand nombre de business angels, de journalistes spécialisés dans les technologies de pointe, de blogueurs ainsi que de banquiers et représentants de la région Nouvelle-Aquitaine – Périgord seront également présents. La participation est gratuite, mais l’inscription est obligatoire. Pour plus d’informations et pour vous inscrire à cet événement, veuillez vous référer aux coordonnées ci-dessous ou suivre ce lien.

UNIQORN SAS

Jean Vignon

Phone: +33 6 70 54 40

Email: jean@uniqornincubator.com